Installation / Configuration.
Lors du déballage de l’appareil, on constate que celui-ci est bien protégé par de la mousse, mais aussi par un plastique. Une fois sorti de sa boite, premier constat : le robot laveur de piscines a de la gueule, il est classe, il nous ferait presque pensé à un jouet high-tech premium. On sent bien que la marque a décidé de proposer à ses clients, un appareil de qualité ou en tout cas qui en jette et pas un truc moche, laid, mais qui ferait bien son travail.
Les gens de passages qui l’ont vu au bureau et dans les maisons ont même cru à un robot tondeuse.
Pour ce qui est de l’installation, rien de bien compliqué. Avant tout nous avons quand même ouvert le mode d’emploi que nous avons lu « entre les lignes » et ça y est nous étions prêt à laver la piscine.
Par mesure de « précaution », nous avons toutefois décidé de mettre le robot Aiper Seagull Pro en charge. C’est là que nous avons vu la bague principale du robot en action, mais nous y reviendrons plus tard.
Une fois le robot chargé, on choisit le mode de nettoyage et on le met à l’eau. De préférence on le dépose juste à la surface de l’eau. Celui-ci coule doucement et se met à faire tourner ses moteurs pour descendre jusqu’au sol.
On notera que si souvent on retrouve une solution de type chenillard pour ce genre de produit. Aiper a opté pour 4 roues crantées en caoutchouc pour faire avancer son robot dans l’eau.
Sur la partie avant on trouve deux rouleaux brosses qui ont pour fonction de ramener les saleté du sol vers le centre du robot ou se trouve la bouche d’aspiration. Les deux rouleau en caoutchouc eux aussi sont indépendant l’un de l’autre. Autre détail intéressant, on retrouve sur le dessous du robot deux « arrêtes » en caoutchouc en forme de trapèze qui ont pour objectif de ramener là aussi les saletés vers le centre d’aspiration.
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